Les choses à savoir pour que nos enfants deviendra un bon apporteur d’affaires un jour

Actuellement, beaucoup de jeunes s’intéressent au travail d’un apporteur d’affaires. Êtes-vous, vous aussi, passionné par ce genre de métier qui est fameux pour sa rentabilité ? Avant d’entrer dans le vif du sujet, sachez que vous travaillerez comme indépendant ou auto-entrepreneur. En tant qu’une activité non réglementée, ce métier n’exige pas une formalité plus compliquée. Cependant, si vous comptez effectuer ce travail en permanence ou à titre régulier, soyez légal. On parle notamment du cadre juridique de l’apporteur d’affaires. Par exemple, vous devez, d’emblée, vous inscrire au RCS Registre du Commerce et des Sociétés. Cela permet aussi, à l’entreprise pour laquelle vous travaillez, d’avoir une existence juridique. Si vous exercez en société, vous avez besoin de réaliser les formalités relatives à l’immatriculation de la société en question, pour ne citer que le dépôt d’un dossier au greffe, les statuts et l’annonce légale. Pour légaliser vos activités de prospection, vous avez aussi deux types de statuts qui s’offrent à vous. L’un repose sur l’exercice en société et l’autre sur le régime de micro-entrepreneur. Dans le premier cas de figure, vous pouvez négocier seul les clients ou avec d’autres actionnaires. La deuxième alternative s’avère idéale si vous débutez votre carrière d’intermédiaire commercial. Force est de constater que dans la plupart des cas, un apporteur d’affaires agit seul, sans faire appel à d’autres personnes. Ce qui lui permet de ne pas partager ses commissions à un tiers. N’oubliez pas de suivre cette vidéo : https://ressources.first2trade.com/spot-publicitaire-juin2019-b2b

Zoom sur le cadre juridique et sur le contrat d’apporteur d’affaires

Le métier d’un apporteur d’affaires ne fait pas l’objet, comme expliqué dans le paragraphe précédent, d’une réglementation spécifique. En principe, la rédaction d’un contrat ne s’avère pas obligatoire, mais vous constituera plutôt, en cas de désaccord ultérieur, d’une sécurité juridique. Alors, ce contrat doit être rédigé, avec une grande précision. Veillez à y inclure les points suivants : votre identité et celle de l’entreprise, la durée du contrat, les services et les produits à présenter aux clients, la zone géographique de prospection, la mission générale ou objet du contrat, les conditions de rupture du contrat, la juridiction compétente en cas de litige et éventuellement une clause de non-concurrence ainsi qu’une clause d’exclusivité. N’oubliez pas d’y mettre en exergue vos rétributions, comprenant ainsi les modalités de versement, la somme à verser, les conditions de versement et la périodicité.

Entreprise ! Que faire pour mener à bien la rédaction du contrat avec l’apporteur d’affaires ?

Vous le savez, le travail d’un apporteur d’affaires est différent de celui d’un mandataire, d’un agent commercial et d’un simple commissionnaire. Comme indiqué plus haut, il peut bénéficier d’un statut de travailleur indépendant. Il agit ainsi en totale liberté. Entreprise ! Délimiter son champ de prospection vous permet d’éviter certains incidents. En effet, il existe des apporteurs d’affaires qui ont la tentative de détourner certains moyens mis à sa disposition, comme les informations confidentielles et le fichier client, et cela juste au profit de votre concurrent. Certains exigent des commissions non dues. D’autres tentent tout simplement de nuire à l’image de votre entreprise, par quelque moyen que ce soit. Alors en un mot, la rédaction d’un contrat d’apporteur d’affaires s’avère  incontournable.

 

 

 

 

 

 

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